La météo est le premier facteur d’excuses pour ne pas faire quelque chose.
Il est toujours difficile de sortir quand il fait froid ou qu’il fait tempête pour une frileuse comme moi.
Quand je me suis lancé ce défi, je voulais le faire obligatoirement dehors, puis je me suis souvenue des rudesses de l’hiver au Canada. C’est ainsi que j’ai clairement précisé que si je n’avais personne pour partager les 5 km l’hiver, je le ferai sur mon tapis.
Le groupe d’entraide est justement conçu pour passer au travers de tous nos démons, du froid, de la neige ou de la tempête.
Il va chercher l’énergie de chacun pour se pousser à sortir et réussir l’objectif fixé malgré la température.
Il permet de nous créer des souvenirs, de partager des marches cocasses ou encore permet d’échanger un regard, un sourire et une complicité dans le défi et un plaisir très agréable à recommencer le lendemain.
Si c’était facile, tout le monde le ferait mais dans ce cas, cela ne m’intéresserait pas.
Ce que je vais chercher dans mes défis, c’est le dépassement de moi-même.
Jusqu’où je suis capable d’aller dans le contrat que j’ai fait avec moi-même pendant 365 jours.
